Message des familiers
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Aller à la navigationAller à la rechercheDès que vous invoquez votre familier, celui-ci va dire de nombreuses choses, qui ne servent que d'indication sur l'humeur du familier. Il existe différents messages, qui sont répertoriés aussi. De temps en temps, une fenêtre de discussion apparaîtra avec le familier, pour cette fois lui faire gagner des caractéristiques. Reportez-vous à la page sur les Dialogues avec les familiers magiques pour plus d'informations sur ce sujet.
Sommaire
Invocation du pet
- Rrrr... Vous avez retenu la leçon, ou je dois répéter ?
- Oh ! La liberté, quelle chose merveilleuse !
- Je peux sentir l'air frais, enfin !
- Bon, d'accord, je vous accompagne !
- Je peux enfin laisser tout le monde voir de quel bois je suis fait !
- Et si nous partions ensemble à l'aventure, aujourd'hui ?
- Ah ! Vous me cherchez ? On va manger un bout ?
- Me faire participer au combat, c'est une très bonne idée ! Vous ne le regretterez pas !
- Je... je dors encore à moitié... Où voulez-vous aller ?
- Oui, c'est toujours agréable de sortir se promener, quand on est resté enfermé trop longtemps.
- Où allons-nous, aujourd'hui, mon maître ?
- Alors, vous m'emmenez dans un chouette endroit, maître ?
- Bonjour, maître... Où allons-nous jouer, aujourd'hui ?
- Ah, mon maître veut m'emmener me promener ! J'ai tant de chance !
- Je sais, je sais... Je m'empâte, depuis quelque temps. Mon maître me nourrit trop. Je dois faire plus d'exercices physiques !
- Ô maître, vous avez l'air de nager dans le bonheur, aujourd'hui !
- Ô maître, j'ai le sentiment que quelque chose de bien va se produire aujourd'hui !
- Ô maître, partons à l'aventure ensemble !
- Ô maître, j'ai tellement de chance d'être à vos côtés !
- Quel bonheur de vous voir, maître ! Allons jouer !
- Hé ! Maître, continuons un petit bout de chemin ensemble !
- Vivre aux côtés de mon maître est un bonheur quotidien ! Je déborde d'énergie, aujourd'hui !
Alimentation insuffisante
Alimentation < 60
- J'ai faim ! Mon maître bien aimé...
- Je ne peux rien faire le ventre vide...
- Maître, quand j'ai trop faim, je n'ai plus assez de forces pour aller promener mon petit.
Alimentation < 40
- Ne me dites pas que je dois ressortir pour manger l'herbe de la rue...
- Maître, je sais que je suis trop gros, mais ne rien me donner à manger n'est pas une solution pour que je perde du poids.
- Maître, si vous trouvez que je fais trop de bruit, nourrissez-moi jusqu'à ce que je sois plein !
Alimentation < 40
- De la viande... J'ai envie de viande.
- Tout est bon quand on a l'estomac dans les talons... Maître, j'ai faim, je n'en peux plus.
- Quand j'ai faim, je dois manger !
- Feriez-vous un... régime, maître ? Ah, non... j'ai une objection !
- On peut manger, maintenant ? Allez, maître...
- Maître... Je veux en manger au moins 10 !
- Maître, mon ventre fait de drôles de bruits.
- Maître, dites... Quand est-ce que vous allez me laisser dévorer un festin ?
- Maître, mon tendre maître, vous avez vu à quel point je prends soin de vous ? Je... J'ai un peu... faim.
- Mon appétit est de plus en plus féroce, depuis quelque temps. J'ai encore faim.
- Maître, savez-vous quand je vous aime le plus ? La réponse est : au moment des repas !
- Maître, qu'allons-nous manger, aujourd'hui ? Des légumes ou de la viande ?
- Maître, moi aussi, j'ai envie de manger jusqu'à avoir la peau du ventre bien tendue.
- Maître, je vous aime beaucoup, vous savez... Alors, dépêchez-vous, engraissez-moi !
Combat
- Maître, avez-vous beaucoup d'ennemis ? Comment se fait-il que vous soyez tout le temps en train de vous battre ?
- Maître, si je me souviens bien, vous n'avez pas réussi à le battre la dernière fois. Vous voulez vraiment remettre le couvert ?
- Encore ! Frappez plus fort ! Je vais chercher quelque chose à boire.
- Maître, vous allez perdre du poids en un rien de temps, vu comment vous vous démenez lors des combats !
- Vous n'avez pas besoin de moi pour vaincre ce mollasson de monstre...
- Mon maître est parfaitement capable de terrasser ce mollasson de monstre sans l'aide de personne.
- Maître, si vous me traitez un peu mieux, je vous aiderai la prochaine fois !
- Maître, j'ai envie de grignoter du pop-corn pendant que je vous regarde combattre. Vous pouvez attendre une toute petite minute ?
- Tout va bien, maître ?
- Maître, si je vous désobéis, vous me promettez que vous ne me frapperez pas comme vous l'avez frappé ?
- Maître, je viens de me coiffer. Battez-vous si vous voulez, mais que personne ne s'approche de ma soyeuse chevelure.
- Maître... vous avez mangé ?
- Maître, vous ne devez pas perdre la face devant moi !
- Maître... je souffre d'un mal qui me tuera si je pars au combat. Allez-y, vous... Moi, je prierai pour vous.
- N'avez-vous pas dit que je suis votre arme secrète, maître ? Dans ce cas, quand devrai-je combattre ?
- Maître... je souffre d'un mal qui fait que l'on me frappe à chaque fois que j'ouvre la bouche... Ne me frappez pas... Je vais faire de mon mieux pour ne pas trop parler.
- Maître... on a tous besoin d'yeux et de bouches pour manger. Vous ne devriez me frapper au visage...
- Ne me regardez pas comme ça. J'ai plus de forces que vous !
- Maître, j'ai l'estomac un peu en compote, aujourd'hui. Allez-y, vous...
- La vie est un combat sans fin ! Ma motivation n'a jamais été aussi forte, il me tarde de combattre !
- Oh ! Pas mal !
- Frappez-les, frappez-les bien, frappez-les magnifiquement bien !
- Pour qui vous vous prenez ? Fichez-moi le camp d'ici ! Vous voulez crotter les souliers de mon maître, ou quoi ?
- Oh ! Maître, comme vous êtes fort et rapide !
- Vous voulez combattre mon maître, vraiment ? Vous ne tiendriez pas deux secondes. Vous êtes bien imbécile. Débarrassez le plancher !
- Maître... ce pauvre bougre cherchait juste quelque chose à manger. Un peu de compassion... Ne l'amochez pas trop.
- Joli travail, maître ! Allez, du nerf !
- Mes amis, je veux voir vos mains... Mon maître arrive, levez tous les mains !
- Eh, oh, le monstre mollasson, dépêche-toi donc de te faire battre. Le temps de mon maître est précieux... Mon maître doit bientôt m'emmener en promenade.
- Vous n'êtes pas beaucoup. Venez, venez ! Mon maître a des choses à faire !
- Quand on ne sait pas, on ne dit pas ! Mon maître ne rigole pas !
- Vous osez créer des problèmes avec un simple cure-dent ? Maître, vous pouvez le pulvériser en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire !
- Ce n'est pas que mon maître me fait peur, c'est que la peur est mon maître !
- Rrrr... Vous osez offenser mon maître ? Prenez garde, ou je vais vous donner une raclée dont vous vous souviendrez toute votre vie !
- Je suis le roi du monde !... Enfin... son familier...
- Wouh ! Joli ! Ça marche aussi !
- Maître, vous portez de sacrés jolis coups ! Mais votre tâche serait bien plus facile si vous me laissiez tenir votre adversaire.
- J'ai fait de nombreux combats aux côtés de mon maître, quand j'y pense ! Bon... je ne vais pas m'arrêter maintenant, n'est-ce pas ?
- Ah, ce n'est pas mal comme ça ! (Écrit)
- Maître, vous êtes comme le rocher sur lequel j'aime me reposer. Quand je vous vois combattre, je me sens tellement en sécurité !
- Si vous tuez mon maître... plus personne ne me donnera à manger... Ce n'est pas bon, ça, pas bon du tout...
- Maître, laissez-moi vous aider. Je ne tiens pas à crever de faim, moi !
- Si mon maître voit que je l'aide, sa fierté en prendra un coup. Je ne vous affronterai que lorsqu'il ne regardera pas !
- Aïe, comme vous y allez !
- Allez-y, maître, chargez ! Je vous couvre !
- Bon, d'accord, je vous ai peut-être donné un coup... mais ne m'en tenez pas rigueur. Vous voulez vous venger ? Pas de souci, adressez-vous à mon maître !
- Aïe ! Frapper les gringalets, ce n'est pas du jeu !
- Eh, si je suis là, c'est aussi pour pouvoir manger. Laissez-moi le frapper !
- Ah ! Je l'ai frappé ! Ce n'est pas moi, c'est ma main qui a ripé ! Ha ha ha... Vous m'excusez, n'est-ce pas ?
- Je viens prêter main-forte parce que... à vrai dire, je m'embête un peu, à traîner à droite, à gauche.
- Je ferais bien de donner un coup de main pour que la promenade soit agréable.
- Hop, hop, hop ! Arrêtez tout, là. Vous voulez faire quoi, à mon maître ?
- D'habitude, lorsque le vieil homme arrive, le combat est sur le point de s'achever.
- Vous avez osé frapper mon maître ! Vous ne tenez pas à la vie, ou quoi ?
- Je ne vous laisserai pas faire pleurer mon maître !
- Maître, combattons-le ensemble !
- Maître, vous travaillez dur tous les jours pour m'élever et prendre soin de moi. Il est temps que je vous rende la pareille !
- Vous offensez mon maître et partez l'air de rien ? Eh non, ça ne se passe pas comme ça !
- Riez, ne serait-ce qu'une fois, et vous le regretterez ! Vous pensez avoir une seconde chance pour vaincre mon maître ?
- Maître, je veux vous prouver que vous pouvez vraiment compter sur moi : laissez-moi m'occuper du suivant !
- Hum, pas mal. Voilà un bon exercice !
- Maître, mon devoir est de vous protéger !
- Pour gagner, je dois frapper au moment propice !
- Je vais vous aider, maître. Je n'ai pas fait grand-chose, mais tout ce que j'ai fait, ça vient du cœur.
- Mon maître a fière allure au combat !
- Avec le pouvoir viennent les responsabilités ! Maître, je vous laisse la responsabilité de maintenir la paix dans ce monde.
- Éliminer les forces du mal... Si telle est la mission de mon maître, alors je l'aiderai à l'accomplir !
Autres
- Maître, nous devrions prendre un petit-déjeuner tous les matins.
- Maître, vous n'avez de cesse de vous battre. Vous ne m'utilisez tout de même pas comme appât ?
- Parfois, je rêve que mon maître et moi avons tissé de très solides liens d'amitié.
- La soi-disant faiblesse... n'est autre qu'un péché ! Maître, construisons notre force ensemble !
- Maître, si vous pouviez voyager, où iriez-vous ?
- Maître, à partir de maintenant, puis-je recevoir votre amour exclusif ?
- Si l'on n'avait pas de rêves, qu'est-ce qui nous différencierait d'un vulgaire poisson ? Et vous, maître, quel est votre rêve ?
- Il est des choses que l'on ne peut remettre à plus tard. Maître, il va vous falloir travailler dur pour accomplir vos rêves.
- Et si ma taille en imposait plus, vous me suivriez plutôt que l'inverse ?
- Maître, pouvez-vous gagner sans aucune arme ?
- Maître, avoir un familier à vos côtés est une excellente idée. Ainsi, vous ne serez jamais seul !
- Maître, vous ne retrouvez pas notre route ? Je veux rentrer à la maison !
- J'adore papoter. J'espère que cela ne vous dérange pas !
- Vous avez voulu que je sois votre familier parce que je vous fais craquer, avouez, maître !
- Maître... Pourquoi la voix de notre voisine est-elle aussi douce que celle du pinçon, alors que vous me sommez de me taire dès j'ouvre mon clapet ?
- J'en ai marre de jouer. Maître, arrêtons-nous un instant.
- Maître, si vous me traitiez un petit peu mieux, je vous aiderais de bon cœur !
- L'amour n'éclot jamais trop tôt ni trop tard, mais toujours à point nommé ! Maître, si vous m'aimez, dites-le-moi !
- Lorsque vous êtes en colère, prenez une profonde inspiration, et pensez à quelque chose de gai. Votre humeur suivra vos idées !
- Maître, certains jours, j'ai l'impression de nager dans le bonheur, alors que d'autres, je suis triste. Bien sûr, je voudrais continuellement vivre dans le bonheur !
- Auprès de mon maître, je me sens plein de courage !
- Maître, vous me trouvez choupinou ? Hum, oh, zut. Je ne trouve pas mon bonheur malgré tous vos éloges ! Ah...
- Maître, je vous aime ! Vous devriez m'aimer, aussi !
- Maître, lorsque tout me sourit, vous devriez me sourire aussi. Lorsque rien ne me sourit, vous devriez essayer de me faire sourire.
- Ah, mon maître adoré, je suis à vos ordres !
- Auprès de mon maître, je sens la joie et l'amour me submerger à chaque instant !
- J'ai tant de chance de pouvoir être aux côtés de mon maître.
- Maître, combien de temps vais-je encore vous aimer ? Si l'amour n'a pas de limite, alors j'espère vous aimer... un millier d'années !
- Mon maître me traite très bien. Riches ou pauvres, j'espère que nous allons rester ensemble pour la vie.
- L'amourette est un péché, mais dépendre de mon maître est mon but dans la vie.
- Je me sens bien quand j'accompagne mon maître.
- Notre grande aventure a commencé. Être aux côtés de mon maître éveille toujours en moi une grande excitation !
- Être le familier de mon maître, voilà ma plus grande fierté !
- Maître, aimez-moi une minute de plus, ce sera bien plus utile que de me donner quoi que ce soit.
- Mon maître, dorénavant, vous ne pouvez plus m'ignorer. Vous devez me protéger !
- Maître, où vous irez, j'irai, fidèle comme une ombre.
- Mon maître, si vos yeux se ferment de fatigue, laissez-les se fermer un instant !
- À partir d'aujourd'hui, je ferai quelque chose pour remplir mon maître de bonheur tous les jours. Comme ça, mon maître m'aimera encore plus.
- Maître, chaque aventure en son temps. N'oubliez pas de prendre soin de vous ! Vous devriez penser à vous lever et à bouger plus souvent !
- Maître, j'espère que vous êtes comme moi : toujours en bonne santé et de bonne humeur !